Dans un contexte où les défis énergétiques sont de plus en plus pressants, la récente adoption du projet de réglementation sur la Politique Énergétique Nationale (KEN) par l’Assemblée des représentants met en lumière un choix stratégique significatif. En décalant les objectifs de descarbonización et en favorisant la safety énergétique, cette décision soulève des interrogations sur l’équilibre entre la transition énergétique et les impératifs de sécurité. Ce revirement, qui projette la part des énergies renouvelables à 23 % d’ici 2030 au lieu de 2025, et augmente la dépendance au carbón, invite à une réflexion sur les implications à long terme de ces choix et leurs impacts sur la durabilité environnementale.

La récente adoption par l’Assemblée nationale du Kebijakan Energi Nasional (KEN) illustre une tendance préoccupante où la sécurité énergétique prend le pas sur les objectifs de descarbonización. Alors que des engagements envers des énergies renouvelables et des techniques de réduction des émissions de carbone devraient constituer une priorité, le nouveau cadre réglementaire mise sur une extension de la production de charbon tout en repoussant les objectifs de part des énergies renouvelables. Cette dynamique complexifie non seulement l’avenir énergétique du pays, mais soulève également des questions sur sa capacité à atteindre ses engagements internationaux en matière de climat.
Un changement de cap dans les objectifs énergétiques
L’adoption du KEN par l’Assemblée a vu une révision significative des cibles de descarbonización. Initialement, le pays visait une part de 23 % d’énergies renouvelables dans son mix énergétique d’ici 2025. Toutefois, ce chiffre a été reporté à 2030, ce qui témoigne d’une volonté de temporiser la transition énergétique. Dans le même temps, la proportion de carbón dans le mix énergétique est prévue pour augmenter, passant de 39,48 % à 40,7 % d’ici 2030. Ce choix stratégique semble privilégier la stabilité économique à court terme, au détriment des engagements de réduction des émissions.
La flexibilité introduite par le KEN
Le nouveau cadre réglementaire permet une plus grande flexibilité dans la mise en œuvre de la transition énergétique. Un des articles clés stipule que l’atteinte de l’objectif de zéro émission nette (ZEE) d’ici 2060 ne doit pas compromettre la sécurité énergétique. Cette position soulève des doutes quant à la sincérité des efforts de décarbonisation, car effet, cela ouvre la porte à une éventuelle réévaluation des mesures si elles viennent entraver le programme énergétique du gouvernement.
Préférences technologiques dans le mix énergétique
Dans la version révisée du KEN, l’accent est mis sur des sources d’énergie renouvelables « dispatchables », telles que la biomasa y el geotermia, qui garantissent une production d’électricité stable. En revanche, les énergies renouvelables intermittentes comme le solar y elenergía eólica sont reléguées au second plan. Ce choix stratégique illustre une volonté de garantir la permanence de l’approvisionnement énergétique, tout en apparaissant comme un compromis face aux exigences temporelles de la transition.
L’impact sur le secteur du charbon et l’avenir énergétique
Le soutien continu à l’industrie du carbón se traduit par un maintien de sa prédominance dans le secteur énergétique. Selon le KEN, la production d’électricité à partir du charbon est prévue d’augmenter considérablement d’ici 2030, avant d’entamer une réduction progressive vers un objectif de 7,8 % d’ici 2060. Une telle stratégie semble en contradiction avec les engagements de décarbonisation et fait appel à des justifications basées sur la disponibilitéel coste y el sécurité énergétique.
Conséquences sur les politiques législatives et réglementaires
L’adoption du KEN par l’Assemblée nationale nécessite également des ajustements dans le cadre politique relatif à la generación de electricidad, en particulier concernant le Plan Directeur National de l’Électricité (RUKN) 2024-2060. En effet, la décision de l’Assemblée sur le KEN a été fortement influencée par une décision de la Cour constitutionnelle exigeant que le RUKN soit aligné avec les nouvelles directives pour une meilleure gouvernance et une supervision accrue des législations énergétiques. Cette approche pourrait transformer durablement les plans de la compagnie d’électricité nationale, PLN, et affecter ses investissements futurs dans les infrastructures énergétiques.
Un défi pour les engagements climatiques
En somme, la révision du KEN soulève de sérieuses préoccupations quant à l’engagement d’Indonésie dans la lutte contre le cambio climático. Le balancement entre sécurité énergétique y descarbonización semble désormais pencher en faveur d’une stratégie conservatrice, risquant de compromettre les efforts globaux et natifs vers des objectifs climatiques plus ambitieux. Les effets de ce cadre sur la dépendance énergétique future et la préservation de l’environnement resteront à suivre de près dans les années à venir.
Pour en savoir plus sur les développements récents liés à la sécurité énergétique en France, consultez des rapports pertinents sur le sujet, comme le rapport d’information sur la sécurité énergétique et la réforme du marché de l’énergie ou sur l’importance de la transition énergétique aquí.
Comparaison des priorités énergétiques dans le cadre du KEN
Aspecto | Detalles |
Objetivo principal | Sécurité énergétique renforcée |
Part des énergies renouvelables (2030) | 23% (au lieu de 2025) |
Part du charbon (2030) | 40,7% (augmentation) |
Transition vers NZE | 2060, sans impacter la sécurité énergétique |
Technologies utilisées | Technologies bas carbone dans les centrales à charbon |
Impact sur les fossiles | Maintien de l’dépendance aux énergies fossiles |
Stratégie économique | 8% de croissance économique projetée d’ici 2029 |
Sources d’énergie prioritaires | Biomasa y geotermia recommandées |